Vous ne serez pas étonnés si je vous parle aujourd'hui de Noël. La ville a commencé à disposer ses guirlandes dans les rues ; quant aux vitrines des magasins cela fait déjà quelques jours qu'elles sentent bon la fête.

A Noël, de nos jours, nous vivons un curieux paradoxe. A une époque où notre monde rejette DIEU, où nos contemporains semblent de moins en moins préoccupés par les questions spirituelles, cette fête prend de plus en plus d'ampleur et gagne chaque année en intensité.

Évidemment, il n'est pas nécessaire d'être chrétien pour se réjouir. Toutes les occasions sont bonnes pour réveillonner, faire bombance, qu'importe l'origine de la fête. Ne faudrait-il pas tout de même s'arrêter quelques instants pour considérer, au moins une fois dans sa vie, cette tradition vieille de plusieurs siècles et qui connaît encore une telle vitalité ? L'envie de faire la fête n'explique pas tout.

Noël est avant tout l'anniversaire de la naissance du CHRIST. Même si le 25 décembre est une date arbitraire, conventionnelle, la naissance de JESUS demeure une réalité historique. Les historiens profanes en ont conservé le souvenir dans leurs écrits. Le premier Noël nous parle du plus beau cadeau que le monde ait reçu durant toute son histoire.

Un monde perdu, séparé de DIEU qui recevait, dans une étable Celui qui allait lui donner l'occasion de rejoindre DIEU au travers de Son sacrifice. Chaque fois que j'offre un cadeau à un enfant, à un ami, je célèbre ce don merveilleux de DIEU à l'humanité en détresse.

Oui, DIEU a tant aimé le monde, DIEU m'a tant aimé qu'il a donné son Fils afin que j'aie la vie éternelle, que je vive. Voulez-vous connaître cette vie, la vie de JESUS ?

" Car DIEU a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. " (Evangile de Jean chapître 3 verset 16)

Extrait du livre de Jack Mouyon "3 minutes s'il vous plaît" (Editions FEC) avec aimable autorisation